Nos dirigeants

Diriger l’Église avec vision, intégrité et une perspective mondiale.

Servir l'Église

Nos dirigeants guident l’Église dans la prière avec sagesse, intégrité et engagement envers la mission de Dieu. Par leur service fidèle, ils fournissent une vision, un soutien et une direction spirituelle pour équiper notre famille mondiale.

Modèle de leadership

En 1994, notre Assemblée générale a adopté un modèle de pluralité de leadership qui se reflète dans la collaboration entre l’Évêque général et les Presbytères généraux. Cette approche assure un leadership fort et partagé pour guider l’Église dans sa mission mondiale.

L’Évêque général est choisi par le Presbytère international et approuvé par l’Assemblée internationale. En tant que principal dirigeant spirituel et administratif de l’Église, il travaille en étroite collaboration avec les Presbytères généraux pour élaborer la vision et les plans stratégiques de l’Église.

Les Presbytères généraux sont des leaders choisis pour leur vocation divine et leur capacité à guider l’Église dans sa mission. Leurs responsabilités comprennent :

  • Superviser des régions spécifiques du monde.
  • Collaborer avec l’Évêque général en matière de planification stratégique.
  • Veiller à ce que l’Église remplisse son mandat d’évangélisation mondiale.

Le Presbytère général, composé de l’Évêque général et des Presbytères généraux, se réunit deux fois par an ou selon les besoins pour traiter des questions administratives et stratégiques. Cette équipe est responsable devant le Presbytère international et l’Assemblée internationale.

Presbytères généraux actuels

Tim Coalter

Évêque général

E. James Kolawole

Afrique

Tim McCaleb

Asie, Australie,
et Océanie

Clayton Martin

Îles des Caraïbes et de l'Océan Atlantique

Benjamin Feliz

Amérique centrale

Brian Sutton

Amérique du Nord

Gabriel Vidal

Amérique du Sud

Clayton Endecott

Eurasie et
Moyen-Orient

Structure organisationnelle

La structure organisationnelle de l’Église du Dieu de la Prophétie existe et fonctionne à trois niveaux interdépendants : international, national/régional/étatique et local.

Le niveau international de l’organisation de l’Église fonctionne sur une base mondiale et fournit un réseau mondial de soutien et d’interaction pour les ministères de l’Église dans tous les 50 États des États-Unis et plus de 130 nations.

Le niveau national/régional/étatique fournit un leadership et un soutien plus ciblés directement dans le contexte des nations et des états où l’Église est au travail.

Le niveau local est le cœur de l’église. C’est à ce niveau que des congrégations bienveillantes sont formées dans des milliers de villes, villages et communautés du monde entier où la mission de l’Église est servie quotidiennement. Ces corps locaux de croyants forment le cadre dans lequel l’église accomplit principalement sa mission de réconcilier le monde avec Christ par la puissance du Saint-Esprit.

À tous les niveaux d’organisation dans l’église, des efforts sont faits pour être dynamique et flexible afin d’ éviter la stagnation. Dans des sociétés de plus en plus complexes et en constante évolution, nous sommes conscients que la capacité de rester pertinent aux besoins des gens dépend de la capacité à répondre positivement aux changements sociétaux sans compromettre la vérité. Nous reconnaissons que notre Dieu est dynamique, non statique. Il est un Dieu qui agit dans les affaires de l’humanité. Nous nous engageons à être des gens mobiles et pèlerins qui se déplacent quand Il se déplace et qui s’arrêtent quand Il s’arrête.

L’Assemblée internationale, une réunion ouverte à tous les membres, est le plus haut organe de décision dans l’Église de Dieu de la Prophétie. Elle se déroule actuellement tous les deux ans. L’Évêque général, en consultation avec les Presbytères généraux de l’Église, établit et modère le programme de l’Assemblée. Lors des discussions sur les questions de doctrine et d’affaires, chaque membre adulte a une voix égale. Les décisions doctrinales sont prises d’ « un seul accord », et les décisions d’affaires sont prises par « consensus écrasant ». L’Assemblée offre aussi des moments d’inspiration pour le culte, la prédication, l’enseignement et la communion. C’est lors de l’Assemblée internationale que l’Évêque général fournit une vision pour la direction dans laquelle il croit que Dieu dirige l’église.

Au niveau de l’organisation internationale, l’Évêque général est choisi d’un commun accord par l’Assemblée internationale pour un mandat de six ans. Avec les Presbytères généraux, qui sont choisis par le Presbytère international, il a un large éventail de responsabilités en matière de direction spirituelle et administrative. L’Évêque général et les Presbytères généraux font la sélection finale de tous les dirigeants internationaux, y compris les évêques nationaux/régionaux/étatiques, les responsables des Bureaux internationaux et les comités permanents de l’Assemblée. En outre, ils cherchent constamment Dieu pour une direction spirituelle et une vision pour les efforts de l’église dans le monde entier.

Le Presbytère international est composé de tous les évêques nationaux/régionaux/d’état et les évêques qui font partie du personnel des bureaux internationaux. Le permis ministériel et la discipline sont entre les mains du presbytère international.

Le principe de la pluralité du leadership dans le Nouveau Testament a été adopté en 1994 par l’Assemblée internationale. La pluralité des dirigeants s’étend dans le monde entier grâce à sept Presbytères généraux qui servent dans diverses régions géographiques du monde. Selon leur don de Dieu, les Presbytères généraux sont choisis par le Presbytère international pour donner une direction à l’église mondiale dans l’accomplissement de sa mission. Ils travaillent directement avec l’Évêque général pour assurer un leadership partagé dans l’exécution des fonctions de ce bureau à l’échelle mondiale.

Les bureaux internationaux de l’Église de Dieu de la Prophétie cherchent à encourager un leadership inspirant et à fournir des services de soutien essentiels qui augmentent considérablement le témoignage de l’Évangile de l’Église et favorisent sa mission. L’Évêque général choisit les directeurs exécutifs des Bureaux internationaux, en consultation avec les Presbytères généraux. Les directeurs de ministère sont choisis par leur directeur de ministère exécutif respectif et travaillent ensemble pour accomplir le mandat mondial du ministère comme donné par Dieu à l’église.

Les évêques nationaux/régionaux/d’État sont choisis par leur Presbytère général respectif et chacun d’entres eux fonctionnent comme Évêque général sur leur territoire.

Il est de la responsabilité de chaque évêque national/régional/d’État de sélectionner, équiper et nommer un personnel administratif, ainsi qu’un pasteur pour chaque église locale dans sa région. L’évêque national/régional/d’État planifie et anime des conventions périodiques dans son territoire particulier. Les réunions sont ouvertes à tous les membres et se composent d’un temps de culte, de communion et d’affaires. Elles donnent aussi l’occasion à l’évêque de donner des orientations aux nombreux programmes de sensibilisation dans sa région.

La Grande Commission, telle qu’elle a été donnée par le Christ à l’Église, est réalisée de manière plus directe par les divers ministères locaux. L’église locale est le lieu où les gens sont gagnés au Christ, baptisés, liés par alliance à la communion ecclésiale et disciples dans une vie chrétienne victorieuse. Le pasteur, qui est nommé par l’évêque de la région respective en consultation avec l’église locale, sert de chef spirituel et administratif. Alors qu’il/elle prie et cherche la direction de Dieu pour guider le troupeau et partager l’évangile avec la communauté locale, il/elle sélectionne et équipe de nombreux leaders laïcs pour participer à ces efforts.

Normalement, l’église locale offre des ministères spécialisés pour le développement spirituel des enfants, des jeunes, des femmes et des hommes. L’Église de Dieu de la Prophétie reconnaît les besoins uniques de son peuple et l’urgence de le développer à une pleine maturité dans le Christ.

Chaque église locale devrait tenir une conférence d’affaires trimestrielle dans le but de fournir des informations aux membres et de prendre des décisions spirituelles et commerciales. La conférence peut aussi exercer une discipline dans les affaires des membres rebelles ; cependant, cela devrait toujours être fait avec un objectif en tête : restaurer et réconcilier le frère ou la sœur déchu. Tous les membres adultes, qui sont en règle avec l’église locale, ont une voix égale dans les affaires portées devant la conférence locale.

Presbytère international

Le Presbytère international est composé de l’Évêque général, des Presbytères généraux, des évêques nationaux/régionaux/d’État, des directeurs exécutifs des bureaux internationaux et des ministres translocaux. Il se réunit au cours de l’Assemblée internationale et, selon les besoins, pour fournir des conseils, des recommandations et des décisions sur des questions qui concernent toute l’Église.

Le Presbytère international comprend l’Évêque général, les Presbytères généraux, les évêques nationaux/régionaux/d’état, les directeurs exécutifs des bureaux internationaux et les ministres translocaux. Il se réunit à l’Assemblée internationale et, selon les besoins, pour des conseils, des recommandations et des décisions sur des questions touchant toute l’Église, conformément aux mandats de son Assemblée. Des observateurs ou des conférenciers peuvent être invités au besoin (document de gouvernance révisé, juillet 2016)

  • Accorder la licence et l’ordination des ministres (36e procès-verbal de l’Assemblée 1941, 92 ; 88e procès-verbal de l’Assemblée 1994, 153).

  • Discipliner les ministres (82e procès-verbal de l’Assemblée 1987, 56 ; 54e procès-verbal de l’Assemblée 1959, 128, 256).

  • Dissoudre des églises (71e procès-verbal de l’Assemblée 1976, 134)

  • Restaurer des ministres (82e procès-verbal de l’Assemblée 1987, 47).

  • S’adresser aux ministres qui prêchent une doctrine contraire (54e procès-verbal de l’Assemblée, 1959, 128) ou usurpent l’autorité (58e procès-verbal de l’Assemblée, 1963, 126).

  • Traiter des questions liées au mariage (78e procès-verbal de l’assemblée 1983, 137 ; 80e procès-verbal de l’assemblée 1985, 139).

  • Établir les politiques ministérielles en matière de licences (88e procès-verbal de l’Assemblée, 1994, 153).

Les évêques nationaux/régionaux/d’État nomment des pasteurs, en tenant compte des besoins des pasteurs et ceux des congrégations pour assurer leur croissance et leur maturité. En collaboration avec les comités d’examen ministériels, ils mettent en œuvre un processus d’évaluation pastorale juste, ordonné et efficace. Les évaluations régulières favorisent la responsabilisation, l’amélioration de soi et la prise de décisions éclairées, ce qui constitue la base des examens quadriennaux. Le but du ministère d’équiper les saints exige du temps pour soutenir la maturité des ministres et des congrégations.

Bureaux internationaux

Le travail des bureaux internationaux est effectué dans quatre divisions ministérielles interdépendantes. Ces ministères travaillent ensemble à travers les lignes organisationnelles pour mieux servir les besoins de l’Église dans son ensemble. Chaque secteur est dirigé par un directeur de ministère exécutif qui sélectionne et emploie le moyen approprié– gestion du personnel et support de l’équipe. Les divisions ministérielles et leurs responsabilités sont les suivantes :

Ce domaine du ministère fournit une supervision spirituelle, une vision et une direction à l’Église dans son ensemble. La responsabilité de l’accréditation et de la discipline ministérielle incombe à ce ministère. Il prévoit également les dispositions nécessaires à la tenue de l’Assemblée internationale. Ce groupe est composé de l’Évêque général et des Presbytères généraux.

La fonction d’Évêque général est reconnue dans l’Église de Dieu de la Prophétie comme étant celle qui fournit aux membres en général et à la direction en particulier, une orientation donnée par Dieu pour accomplir la grande commission (Matthieu 28:18-20) donnée par le Seigneur Jésus-Christ. L’Évêque général, choisi (sans préférence ethnique) par l’Assemblée internationale et responsable devant elle, devrait avoir la liberté d’exercer son don spirituel et de réaliser le potentiel pour le ministère comme le Saint-Esprit le dirige. Sa sélection est conforme au principe de l’accord unique.

La division des Communications mondiales de l’Église de Dieu de la Prophétie est dédiée à faire progresser la mission de l’Église en connectant, inspirant et équipant sa communauté mondiale. Chargée de proclamer les œuvres merveilleuses de Dieu à toutes les nations, la division réunit le département éditorial, celui artistique, celui du magazine numérique, celui des services informatiques, celui de la traduction, celui du web et celui des services médias des bureaux internationaux sous une seule structure de direction pour améliorer la collaboration, la planification stratégique et la responsabilité. Engagée à franchir les barrières culturelles et linguistiques, la division veille à ce que le message de l’Église soit accessible et efficace dans divers contextes du monde entier. Une communication claire et des partenariats intentionnels relient la vision globale de l’Église à tous les niveaux du ministère, en veillant à ce que les membres, les ministres et les églises locales aient les outils nécessaires pour évangéliser, croître spirituellement, s’engager et exercer un ministère efficace. Cet effort est encore renforcé par un réseau dynamique de liaisons de communication nationales, régionales et étatiques, qui étend l’impact de la division à tous les niveaux.

Le ministère du Développement du leadership et de la formation de disciples se compose de cinq départements distincts mais unifiés : le Centre de la formation biblique (CFB), le Développement du ministère accrédité (DMA), le Ministère des enfants (ME), le Ministère de la jeunesse (MJ) et le Séminaire Esprit et Vie (MEV).

Les ministères du Développement du leadership et de la formation de disciples existent pour engager et développer des leaders afin qu’ils soient équipés pour faire des disciples. Les ministères du Développement du leadership et de la formation de disciples fournissent des ressources de leadership et de disciple ainsi que des possibilités de formation pour l’Église de Dieu de la Prophétie à l’échelle mondiale.

Les Services financiers et administratifs sont responsables de la gestion des fonctions financières, administratives et éditoriales. Cette division intègre les services administratifs et les ministères au moyen de la comptabilité, de la gestion des propriétés, de la promotion de l’intendance et de la gestion des ministères des missions mondiales.

Comités de l'Assemblée

  • Le Comité de la doctrine biblique et du gouvernement (DBG) est nommé par l’Évêque général pour servir l’Église en préparant une présentation des questions universelles de doctrine biblique, de théologie, d’éthique et de politique à l’intention de l’Assemblée.
  • Le DBG devrait refléter (autant que possible) la composition internationale de l’Église. En tant que comité permanent, les membres du DBG devraient interagir avec l’Église internationale dans le processus d’élaboration des rapports.
  • Le DBG doit préparer un rapport préliminaire d’exposition qui devrait être distribué à l’Église au plus tard 90 jours avant la prochaine assemblée pour examen. Les questions supplémentaires non incluses dans le rapport ne devraient pas être examinées durant cette assemblée, mais à la prochaine assemblée après qu’un document ait été présenté et distribué ; toutefois, des questions urgentes peuvent survenir. Cela n’exclut pas un mouvement dynamique de l’Esprit pour donner une direction.
  • Les questions de doctrine biblique, de théologie, d’éthique et de politique doivent être soumises à l’examen de l’Assemblée par le comité du DBG. Le modérateur général (évêque général), en consultation avec les conseillers de l’Assemblée (presbytères généraux) et le comité du DBG, peut présenter des questions urgentes qui ne sont pas incluses dans le rapport de l’Assemblée (88e procès-verbal de l’Assemblée 1994, 150–151).
  • Dans l’intérêt de la clarté et de l’efficacité, il semblerait judicieux que les questions nécessitant une présentation biblique soient traitées uniquement par le comité du DBG (90e procès-verbal de l’assemblée 1998, 89).
  • Afin de clarifier davantage le processus décisionnel de l’Église, les rapports concernant les politiques, les procédures et les finances présentés par les commissions permanentes de l’Assemblée devraient être acceptés par consensus. Toutes les questions de nature doctrinale doivent être acceptées par « un seul accord » (93e procès-verbal de l’assemblée 2004, 333).
  • Le but du processus de présentation est de fournir à chaque assemblée un rapport rédigé afin de faciliter l’étude, de prier et de méditer et finalement de se positionner jusqu’à la prochaine assemblée, où ce rapport sera présenté pour décision (93e procès-verbal de l’assemblée 2004, 111).
  • Le DBG, à la demande des Presbytères généraux, fit une déclaration clarifiant la position de l’Église sur le gouvernement de l’Église qui reconnaît l’équilibre délicat entre la dimension théologique/ecclésiastique de l’Église et la structure officielle des affaires que nous devons maintenir à des fins juridiques (94e procès-verbal de l’Assemblée 2006, p. 176-177).
  • De plus, le DBG doit servir l’Église en revisitant continuellement la Parole de Dieu pour nous assurer que nous marchons dans la lumière de la vérité. Le DBG devrait non seulement soumettre les questions à l’Assemblée pour examen, mais aussi chercher la direction des leaders et d’autres comités jugés nécessaires par l’Évêque général et les Presbytères généraux afin de fournir des conseils dans les domaines de la doctrine et du gouvernement. Le comité devrait également aider à la rédaction des Journaux de l’Assemblée et du Manuel de réglement du ministère pour s’assurer que les décisions prises par l’Assemblée concernant la doctrine et le gouvernement sont consignées avec exactitude.
  • Il a été la pratique de ce comité que les sujets qui lui sont soumis pour étude ou prise de décision viennent par l’intermédiaire de l’Évêque général et des Presbytères généraux, par une décision officielle de l’Assemblée, ou si une question a une importance et une préoccupation écrasantes pour l’Église mondiale.
  • Les frais de participation aux réunions seront remboursés ou fournis comme pour les autres comités permanents de l’Assemblée (Procès-verbal de la 95e Assemblée 2008, 47).
  • Le Comité des finances et de l’intendance (CFI) est nommé par l’évêque général pour servir l’Église en formulant et en articulant des plans financiers et des principes de gérance à base biblique et orientés vers le monde entier.
  • Le CFI devrait refléter les fidèles internationaux de l’Église (autant que possible). En tant que comité permanent, il devrait interagir avec l’Église internationale dans le processus d’élaboration du rapport.
  • Le CFI doit préparer un rapport préliminaire qui devrait être distribué à l’Église au plus tard 90 jours avant la prochaine assemblée pour examen. Toute recommandation fondée sur la Bible devrait être accompagnée de références scripturaires ; toute question d’intendance pratique devrait inclure une justification appropriée. Les questions supplémentaires qui ne sont pas incluses dans le rapport ne devraient pas être examinées par cette assemblée ; toutefois, des questions urgentes peuvent apparaître. Cela n’exclut pas un mouvement dynamique de l’Esprit pour donner une direction.
  • Les questions relatives aux finances et à l’intendance devant être examinées par l’Assemblée devraient être adressées au CFI. Le modérateur général (évêque général), en consultation avec les conseillers de l’Assemblée (presbytères généraux) et le CFI, peut introduire des questions d’urgence qui ne sont pas incluses dans le rapport de l’Assemblée.
  • L’évêque général ou l’Assemblée internationale peut utiliser ce comité pour aider à assurer la reddition de comptes et la formulation des politiques dans les processus administratifs financiers (88e procès-verbal de l’Assemblée 1994, 149–151).
  • Le CFI doit se concentrer sur des questions pratiques, y compris les projets de promotion et de collecte de fonds. Ainsi, lorsqu’il s’agit de déterminer l’expression de l’Assemblée, le consensus écrasant déterminera toutes les questions présentées par la CFI.
  • Il incombe au CFI d’établir et de revoir annuellement le salaire et les avantages sociaux de l’évêque général, des presbytères généraux et directeurs du ministère exécutif et d’élaborer une politique d’investissement pour les fonds du Bureau international (87e procès-verbal de l’Assemblée,1992 ; 61e et 95e procès-verbaux de l’Assemblée, 2008 ; 47 à 51 ). Les salaires et avantages des autres personnes nommées des employés des Bureaux internationaux sont déterminés par leur directeur exécutif respectif.
  • Tous les devoirs énoncés ci-dessus ont été reconnus afin que le CFI puisse servir cette église en fournissant une meilleure responsabilité de toutes les finances de l’église. En outre, cela comprend l’utilisation du CFI pour rendre compte de la formulation des politiques dans le processus administratif financier et dans la fixation des salaires de l’évêque général et des presbytères généraux. Leurs avis au Conseil d’administration sont essentiels, car ils fournissent une vision plus large et un examen externe de toutes les décisions financières.
  • Les frais de participation aux réunions seront remboursés ou fournis comme pour les autres comités permanents de l’Assemblée (procès-verbal de la 95e Assemblée 2008, 47).
Comité de la doctrine biblique et du gouvernement
Philip Pruitt, président, Rahadames Matos, Daryl R. Clark, Elias Rodriguez, Timothy Harper, Sophia Pringle, Doreen Makaya, Nelson Torres (pas de photo)
E-mail comité de la doctrine biblique et du gouvernement
Comité des finances et d’intendance
Scott Gillum, président, Nathaniel Beneby, Ryan Napalo, Clint Knowles, Rupert Neblett (pas de photo), Cynthia Lawrence, Paulette Wilbanks
Email comité des finances et d'intendance